Je vois encore trop souvent des entreprises présenter leur bénéfice en se basant sur des faits. Et c’est normal.
Car la première chose qu’on nous apprend à mettre en avant dans le marketing, c’est les caractéristiques de nos produits ou de nos services.
Les fameux USPs (Unique Selling Proposition).
A savoir :
→ qu’est-ce qui nous distingue des autres ?
→ en quoi sommes-nous différent ou meilleur ?
Et la majorité des marques et des entreprises s’arrêtent à cette étape.
Celle des bénéfices illustrés par des faits.
Mais par définition des faits ne sont jamais porteurs d’émotions.
C’est factuel et c’est froid. Ça dit ce que ça fait. Point final.
Or on sait avec les dernières recherches scientifiques que ce sont les émotions qui nous font acheter (même si on pense être rationnel).
Dans ce carrousel, à travers l’exemple d’une cliente, je vous présente les 3 façons de présenter un bénéfice :
1) en se basant sur des faits
2) sur des bénéfices floues
3) sur des bénéfices visuelles
Je vous laisse comparer !
(et me dire ce que vous en pensez en commentaire 👇🏼)
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Si vous me découvrez, je m'appelle Aurélie Jouanigot, j'ai créé RedRoom pour accompagner les entreprises à activer le “OUI” dans le cerveau de leur client grâce aux neurosciences et à la psychologie sociale (et une approche éthique).
Je construis pour les TPE & PME un discours commercial distinctif et des messages structurés qui facilitent la compréhension, la confiance et la décision de leurs futurs clients. ◾️NEUROSCIENCES cognitives du client
1 month ago
Très juste Aurélie Jouanigot. C’est souvent là que la bascule se joue. Entre ce qu’une entreprise dit qu’elle fait et ce que le client visualise et ressent.
Ton exemple concret, illustre bien la différence entre dire ce qu’on fait en « traduire et faire percevoir » ce qu’un produit ou une entreprise apporte.