Il y a un an, j’ai pris une décision radicale 👇🏼
J’ai désactivé TOUTES les notifications de mon téléphone.
Plus de pastille rouge. Plus de “ding”. Plus de vibration.
Au début c’est flippant. J’avais peur.
Peur de manquer une info importante.
Peur d’être "déconnectée" et “hors-jeu”.
Dans un monde où tout doit aller vite, répondre dans l’heure est devenu la norme. Mais j’ai tenu.
J’ai prévenu mes proches. Et mes clients.
Je n’allais plus répondre dans la minute, ni dans l’heure.
Parfois je réponds le lendemain (voir plus tard). J'assume.
Et vous savez quoi ? Le monde ne s’est pas écroulé.
Les gens s’adaptent et moi aussi je me suis adaptée.
Je suis même passée aux vocaux (moi qui détestais ça).
Plus rapides, plus d’émotions et pas de mauvaises interprétations.
Pourquoi est-ce si dur de couper nos notifications ?
Car chaque notification est perçue par notre cerveau comme une récompense. Récompense = plaisir = dopamine.
Une mini-dose de dopamine à chaque alerte. Qui pourrait s'en passer ?
Résultat ? On dégaine son téléphone sans même s’en rendre compte.
Mode “pilote automatique” activé.
Et je voulais sortir de ce mode.
Ce qui a changé aujourd’hui ?
→ Je gagne 3h par jour
→ Je peux sortir sans mon téléphone
→ Je suis plus présente avec mes proches
→ Je suis plus concentrée quand je travaille
→ Et j’ai même des personnes qui m’appellent (oui, de vrais appels 😅)
Voici mes 3 conseils si vous souhaitez faire pareil :
1) Coupez TOUTES vos notifications (d’un seul coup)
2 ) Prévenez vos proches : “J’ai coupé mes notifs, si urgent, appellez-moi”
3) Bloquez 2 créneaux de 30 min / jour pour traiter vos messages
Voilà c’est simple. Gratuit. Et tellement libérateur !
Et vous ? Oseriez-vous couper toutes vos notifications ce week-end pour reprendre le contrôle sur votre téléphone ? 😉
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Si vous me découvrez avec ce post, je m'appelle Aurélie Jouanigot. J'ai créé RedRoom pour accompagner les entreprises à activer le “OUI” dans le cerveau de leur client grâce à la psychologie et aux neurosciences appliqués au marketing et à l’ecommerce.